«Syndicalisme révolutionnaire» par Luís Andrés Edo (Espagne, 1984)

La présence et l’action de l’anarchosyndicalisme sont nécessaires comme pression constante sur les macrosecteurs ouvriers intégrés, rompant les schémas institutionnalisés dans lesquels ils évoluent. La méthode d’action est l’intervention lors d’agitations, de manifestations, grèves, conflits et négociations, débordant les « appareils » et organismes syndicaux institutionnalisés.

«Le pan-syndicalisme intersectionnel» par l’IRESMO (France, 2017)

Le pan-syndicalisme intersectionnel ne consiste pas à nier que l’exploitation et la division du travail peuvent exister en dehors des lieux de production capitalistes. Mais, il part du principe que c’est à travers la question de l’exploitation et de la division du travail dans le marché du travail capitaliste et donc à travers la lutte syndicale que la question des luttes intersectionnelles doivent être posées en priorité.

«Pour l’anarcho-syndicalisme» par Ariane (Suisse, 2021)

Nos critiques radicales du système capitaliste, du patriarcat, de l’autoritarisme… devraient-elles épargner le monde du travail? Ce serait une erreur de renoncer à agir sur ce terrain quand la nécessité ou l’occasion se présentent. Tout comme s’en est une de confier la défense de nos conditions de travail à des spécialistes autoproclamés «syndicalistes».